• | Accueil
  • | Historique
  • | Mission
  • | Logo
  • | Conseil
  • | Nos événements
  • | Bénévoles
  • | Contactez-nous
  • | English
facebookfacebook
La Fondation Sabrina et Camillo D'Alesio
sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo sabrina and camillo

Histoires et Anecdotes

Guérir avec le sourire

À propos de Sabrina

À propos de Camillo

Programmes financés

Livret du programme

Histoires et anecdotes

Let’s Go Girl

La chanteuse préférée de Sabrina et Camillo était nulle autre que Shania Twain. Leur chanson favorite : « Let’s Go Girl ». Ils adoraient écouter les chansons de Shania. Dès l’âge de deux ans, Sabrina avait déjà commencé à chanter ses chansons. Elle chantait dans son microphone et voulait qu’on la filme. Ce sont des souvenirs qui nous resteront toujours très chers.

Pendant son séjour à l’hôpital, Camillo regardait tous les spectacles de Shania et ne voulait manquer aucune de ses apparitions à la télévision. Tout le monde au service d’hématologie et d’oncologie savait que Camillo était fou de Shania. Il y avait une infirmière aux soins intensifs que Camillo a aimé tout de suite. Elle lui a demandé s’il avait envie de regarder la télévision et s’il y avait des vidéos en particulier qu’il aurait aimé voir. Elle lui a suggéré à tout hasard: « Barney » ou « Bob The Builder ». Il l’a regardée et lui a demandé : « Avez-vous Shania Twain?». Elle était un peu confuse car elle ne savait pas qu’il existait un dessin animé de Shania. Nous lui avons expliqué que Camillo ne voulait pas un dessin animé, mais la vraie Shania.

Nous pouvons certifié que Camillo était le plus jeune fan de Shania Twain. C’est elle qui l’inspirait et sa musique lui remontait le moral quand il avait des moments creux. Elle a apporté beaucoup de paix, de rires et de joies à Sabrina et à Camillo.

C’est le sourire contagieux de ces deux merveilleux enfants qui nous pousse à vouloir en faire sourire d’autres.

– Maman


Sabrina - La mondaine

Ça me fait toujours sourire quand je repense à la visite de Sabrina chez nous. La petite mondaine n’a jamais caché qu’elle aimait que son carnet d’activités sociales soit bien rempli. Elle est même arrivée avec un programme et un scénario. Comme elle nous trouvait plutôt réservés quant aux invitations à venir à la maison, elle a voulu nous rendre service. Au cours d’une conversation téléphonique, elle a attendu que ses parents ne puissent pas entendre pour me chuchoter très fort avec candeur : « Je suis libre pour souper demain. » Elle a poursuivi en disant : « Mon papa pourrait venir me reconduire... il ne rentrera pas... il me laissera là et je pourrez rester à souper avec vous... plus tard, il reviendra me chercher et vous pourrez lui donner un café. »

Quand Sabrina est venu se baigner chez nous, elle était très nerveuse pour son premier essai au plongeoir. Elle a pris son temps avant de faire le premier saut. Elle voulait être certaine que Louis l’attendait dans l’eau, juste en dessous, pour l’attraper. Elle était si fière d’elle après ce premier saut. Il y en a eu plusieurs autres ensuite, toujours avec le même scénario. Très vite elle a compris la technique, à tel point que, même si Louis devait toujours l’attendre dans la piscine, il ne semblait plus avoir un rôle de sauveteur, mais faire partie de la deuxième phase du plongeon. Sabrina sautait d’abord du plongeoir pour effectuer ensuite un second saut à partir de la poitrine de Louis. Après 20 minutes, elle ne voyait pas du tout pourquoi on ferait une pause. Louis, pour sa part, est sorti de la piscine en se massant la poitrine et l’estomac, l’air un peu fatigué. Il nous a fait remarquer qu’elle avait des jambes fortes pour sa grandeur et il était plutôt essoufflé.

Après un après-midi dans la piscine, Sabrina a décidé d’entrer dans la maison pour aller à la toilette. Au bout de plusieurs minutes, comme elle ne revenait pas, j’ai décidé de partir à sa recherche. Toutes les armoires du bas étaient ouvertes dans la cuisine et Sabrina contemplait. J’ai dit tout haut : « Eh bien! Je ne me souviens pas d’avoir ouvert toutes ces portes d’armoires. » Sabrina a répondu avec nonchalance: « Oh non, Nevine! C’est moi qui les ai ouvertes, je voulais voir ce que vous avez dans votre cuisine.»

Ces souvenirs nous font sourire et nous réchauffent le coeur. Ils illustrent la joie que Sabrina répandait avec grâce et facilité.

– Nevine and Louis, amis









Sabrina

Comme bien des petites filles, Sabrina aimait les chaussures. Elle avait beaucoup de plaisir à porter des chaussures d’adultes, surtout les souliers à talons hauts. C’était incroyable de voir comment elle arrivait à bien marcher quand elle les avait aux pieds. Le plus drôle; c’est qu’un jour, elle m’a demandé pour porter mes souliers de noce. Cette petite fille de six ans qui mettait ses petits pieds dans mes chaussures de taille 8. Ses pieds n’occupaient que l’avant des escarpins. Elle était en extase parce que, selon elle, ils lui faisaient parfaitement. Comme une grande fille, elle m’a regardée et elle a dit : « Ils sont magnifiques ! ». Et elle s’est mise à se pavaner avec ces talons aiguilles comme si elle avait fait ça toute sa vie.

Je me rappelle bien que Sabrina aimait aller magasiner, ça fait partie des souvenirs d’elle que je n’oublierai pas. Mais pour une petite fille comme elle, le magasinage n’avait pas la même signification que pour moi. Elle chantait des chansons de Ricky Martin tout le long du trajet et, arrivée au centre d’achats, elle réussissait à me convaincre de louer une voiturette de lion chez Frisco. Après avoir fait du lèche-vitrine pendant environ cinq minutes, elle déclarait : « J’ai faim !». De la pizza et des frites constituaient son menu habituel. Dès qu’elle avait le bedon plein, elle disait: « J’ai fini. Est-ce qu’on peut retourner à la maison maintenant? ». Je lui rappelais que nous étions venues magasiner et elle me répondait: « On a déjà magasiné... j’ai mangé de la pizza ! »

– Tante Mimi


Camillo - Pilote de course

En 2002, Camillo a pu retourner à la maison pour Noël. Nous étions tous très enthousiastes qu’il puisse passer les fêtes chez lui, avec sa famille.

Par une belle journée de neige, Camillo a décidé de sortir sa grosse jeep à batterie. Je suis restée près de lui, comme sa mère me l’avait demandé. Avant qu’il ne commence à jouer, je lui ai dit: « Camillo, j’aimerais mieux que tu ne conduises pas trop vite, d’accord? » Camillo ne parlait pas pour rien dire, mais ses yeux en disaient long. Comme j’attendais une réponse, il m’a regardé avec ses magnifiques grands yeux bleus, son sourire ratoureux et il a démarré en trombe. Il tenait le volant de la main gauche et la manette d’embrayage de la droite. Je criais son nom, en courant derrière lui: « Camillo, Camillo, ralentis! ». Il me regardait en continuant de sourire. Il conduisait cette jeep comme un professionnel. Finalement, comme je le rattrapais, il est passé rapidement à la marche arrière et je l’ai perdu à nouveau. Rien ne pouvait l’arrêter. Il montait, il descendait, en marche avant, en marche arrière et tout ce temps-là, je le poursuivais. En fait, je pense que ce jour-là Camillo a eu plus de plaisir à se faire poursuivre par moi qu’à conduire sa jeep. De toute façon, j’ai apprécié chaque instant de cette poursuite, même si on m’avait dit qu’il pourrait se blesser s’il ne faisait pas attention.

Encore une fois, la confiance en lui de Camillo se manifestait. J’étais si fière de lui et je le resterai toujours. Il demeurera une source d’inspiration pour tous ceux qui l’ont connu.

– Tante Antoinette


Sabrina - Vivre sa vie pleinement

Les enfants peuvent enseigner beaucoup de choses aux adultes. Une des caractéristiques de Sabrina qui peut nous apporter beaucoup, c’est sa joie de vivre et sa façon de savourer la vie à fond. Nous regardons les albums de famille et toutes les photos de Sabrina irradient la joie, le bonheur; elle sourit toujours et une véritable énergie émane de chaque photo.

Pendant que Camillo était à l’hôpital, Sabrina a été invitée au cinéma avec Marina, John et leurs parents, Jimmy et Ana. En revenant, ils ont laissé Sabrina en passant, à l’hôpital. Jimmy était étonné de l’entrain de Sabrina. Nous lui avons demandé ce qui s’était passé et il nous a raconté que dans le film « Country Bears », un orchestre se met à jouer « Kick it into Gear ». Jimmy nous a dit qu’aussitôt, il a vu Sabrina debout sur son fauteuil danser et chanter « Kick it into Gear », puis se mettre à inviter John et Marina à faire comme elle. Son enthousiasme, son énergie et sa joie de vivre l’ont vraiment surpris. Tout ce que nous pouvions lui répondre, c’est: « Nous l’avons toujours connue comme ça, c’est bien notre Sabrina! ».

– Papa

Camillo

Si on me demandait ce qui m’a le plus frappé chez Camillo, je dirais que c’est sa force, sa joie, son audace, son amour et sa gentillesse. Dans tout ce qu’il faisait, on pouvait reconnaître ces qualités. Je n’oublierai jamais la fois où nous sommes allés aux pommes avec ses camarades de classe. Il m’a tenu la main tout le temps, comme pour me rassurer et prendre soin de moi parce que je ne connaissais aucun de ses amis.

Son chaleureux sens de l’humour s’est manifesté quand il a vu la coupe de cheveux de Jean. N’importe quel enfant aurait dit : « T’as l’air bizarre !», mais pas Camillo. Il a juste mis ses petites mains devant sa bouche et il a laissé échapper un petit rire sans rien dire.

Il ne m’a jamais rien demandé sauf des Nutcrackers et des coccinelles Volkswagen. Il adorait se faire frotter le dos et qu’on lui chante une chanson. Même quand ma voix se cassait, il me disait: « Ça va, tu as une très belle voix.»

Camillo était un petit être déterminé avec beaucoup de joie de vivre et il ne se plaignait jamais. Il avait un rire contagieux qui se communiquait à tous ceux qui l’entouraient. Il était très intelligent pour son âge. Toujours prêt à s’exprimer avec audace et innocence.

– Tante Mimi


Les cousins qui grimpent dans les arbres

Un jour d’hiver, chez soeur Nella, Sabrina, Camillo, moi et Michael, on a joué dehors et on a grimpé dans l’arbre du voisin. Je suis tombé, Sabrina est tombée et Michael est tombé. Camillo n’est pas tombé parce qu’il est le seul qui n’est pas monté. Quelle journée formidable! Fin

– Peter Taddeo, 10 ans
Cousin de Sabrina et Camillo


Sabrina l’organisatrice

Sabrina adorait être occupée. Elle aimait tout planifier et elle savait tout à propos de tout le monde. Chaque fois qu’elle venait chez nous et qu’il y avait un changement au programme, elle sentait tout de suite mon hésitation si je n’étais pas certaine qu’elle pourrait prendre part aux nouvelles activités. Même avant que je me sois décidée, elle disait: « C’est correct ma tante, je vais appeler mon père et il dira oui. C’est correct, je vais lui dire ce que je ferai. C’est correct. » Après avoir appelé son père en privé, elle me passait le téléphone, la tête un peu penchée avec un petit sourire et les yeux pétillants, en disant: « Mon père veut te parler, ma tante! ». En chuchotant, elle disait à ses cousins: « Peter, Michael, il a dit que c’était correct! ». Chaque fois que je la gardais, elle appelait toujours son père ou sa mère, en composant le numéro elle-même bien sûr, puisqu’elle le savait par coeur. Et toujours, son père ou sa mère la faisait sourire de toutes ses dents quand ils étaient d’accords avec le nouveau programme. Elle était particulièrement heureuse un jour que je l’avais amenée se baigner chez Nevine et que son père lui avait dit qu’elle pouvait se mouiller la tête.

Quand je pense à Sabrina et à Camillo m’appelant « ma tante », ils me manquent !

- Auntie Antoinette


Sabrina

Un jour de l’hiver 2003, ma collègue Antoinette m’a appelée au bureau pour avoir une recette de pâte à modeler qu’elle voulait faire avec Sabrina. Quand j’ai eu fini de lui donner la recette, Sabrina lui a demandé si elle pouvait parler à la personne qui était au téléphone. Après avoir dit: « Allo! », Sabrina m’a demandé ce que je faisais, je lui ai répondu que je travaillais. Elle m’a tout de suite demandé, toute excitée, où je me trouvais. J’ai répondu que j’étais au bureau de sa tante. Elle a semblé assez satisfaite de ma réponse et m’a dit au revoir d’une façon fantaisiste.

Je n’oublierai jamais la voix de Sabrina et je me sens privilégiée d’avoir eu ce bref échange avec elle.

– Andrea Turner


next page
Aider un enfant sourire les anges

Faites
un don

Événements à
venir

2016

Photos

Video

Commanditaires

 banque td td bank banque scotia scotia bank broccolini plaza volare

Copyright © 2004 La Fondation Sabrina et Camillo D'Alesio Inc. Tous droits réservés. Conçu par Studio di Firenze Inc.